Détecter le manque de qualité sur les marchés. Pendant les années de boom de la technique photovoltaïque, les carnets des commandes étaient pleins et les installateurs solaires avaient du mal à suivre et à exécuter toutes leurs commandes. La consequence ? Les entreprises artisanales bien qualifiées n'ont pas été les seules à exécuter les commandes. De nombreux nouveaux-venus dans le secteur, employant de la maind'oeuvre peu qualifiée, sont arrives en renfort pour couvrir ces besoins énormes. Et les conséquences s'en font encore sentir aujourd'hui : erreurs de traitement, rendements insuffisants de la production de courant solaire des installations, voire des risques de sécurité et d’incendie. Et c'est en premier lieu l'exploitant de l’installation qui supporte le préjudice. Mais en fin de compte, une mise en oeuvre de mauvaise qualité peut être imputée au fournisseur de sorte qu’une analyse thermographique peut servir de base pour faire valoir des droits de recours.

Une protection avantageuse pour les assurances.
Jusqu’ici, les diodes by-pass rendues défectueuses après un orage étaient difficiles à localiser. La thermographie est un outil simple et rapide pour découvrir de tels dommages. Les coûts liés à la réparation des défauts sont, en règle générale, pris en charge par les assurances.

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